CRITIQUE CINE « Faut-il aller voir le film l’Amour ouf de Gilles Lellouche ? »

Le film L’amour ouf est un film de Gilles Lellouche sorti en 2024. Il s’agit d’une adaptation du roman éponyme de Neville Thompson. Il retrace l’histoire d’amour passionnée entre deux jeunes pourtant issus de deux classes sociales différentes. 

J’ai été voir ce film après l’avoir découvert sur les réseaux sociaux. En allant le voir, je m’attendais à assister à une histoire romantique entre deux adolescents. Jusque là, Gilles Lellouche tient ses promesses dans la mesure où le film retrace  l’histoire romantique entre Clotaire et Jackie à travers le temps et les différences sociales. Cependant, je m’attendais à voir un film pas trop cliché, un film qui casse les codes de l’histoire d’amour classique alimentée par la différence des classes sociales, dans la mesure où il était décrit sur les réseaux comme un film extraordinaire. 

J’ai beaucoup aimé ce film, notamment dans la forme. En effet, l’histoire est extrêmement touchante, la place que prend la violence enlève le côté cliché de l’histoire d’amour entre les deux jeunes. Cependant, certaines scènes sont tout de même assez choquantes, le film n’est donc peut-être pas approprié à un public trop jeune. 

En revanche, je trouve le film moins intéressant dans le fond. Je trouve que certains sujets ne sont pas assez approfondis alors qu’ils pourraient apporter un aspect plus émouvant au film en permettant de développer d’autres sujets qu’une simple histoire d’amour. Par exemple le thème de la famille avec la relation entre Jackie et son père, ou encore son ressenti par rapport à la mort de sa mère. Le thème de la famille aurait aussi pu être développé en s’intéressant à la famille de Clotaire, notamment la relation qu’il entretient avec son frère, qui est selon moi trop négligée. Je trouve aussi que le film manque un peu d’originalité et reste trop cliché, la seule motivation des personnages reste leur relation amoureuse. J’ai aussi été un peu déçue de la partie du film avec François Civil et Adèle Exarchopoulos, qui n’est, selon moi, pas assez  développée, même si leur relation adulte et leurs retrouvailles restent  très touchantes. 

Les acteurs, que ce soit François Civil, Adèle Exarchopoulos ou encore Mallory Wanecque et Malik Frikah sont exceptionnels. Les plans sont magnifiques et le choix des musiques est génial, ils permettent aux spectateurs d’être transporté dans une ambiance des années 80, très bien réalisée notamment avec la musique eyes without you de Billy Idol. Cette histoire reste finalement très touchante, elle transmet l’image d’un amour adolescent, d’un amour naïf, d’un coup de foudre entre deux jeunes mais également d’un amour inattendu et incompris par l’entourage des deux adolescents, que tout opposait pourtant. On ressort de ce film en ayant compris qu’il faut profiter de chaque moment, que tout peut prendre fin à n’importe quel moment. La relation passionnée entre Clotaire et Jackie nous transmet finalement une vision simple, belle et touchante de l’amour. Le film l’amour ouf reste tout de même un très beau film.

Léa PORTAL

Laurent Wauquiez : « Il faut être là quand ça va bien et il faut être là quand ça va mal »

Visite de Laurent Wauquiez après l’incendie d’octobre 2024. G.Lasherme

Ce vendredi 11 octobre, Laurent Wauquiez, président du groupe La Droite Républicaine et député de la première circonscription de Haute-Loire, s’est rendu dans notre lycée à l’occasion du tragique incendie ayant touché l’établissement une semaine plus tôt. Après une présentation de la situation par notre directeur M. Giraud et le capitaine des services de secours du Puy-en-Velay ainsi qu’une visite des zones touchées par la catastrophe, nous avons pu poser quelques questions à M. Wauquiez, ainsi qu’au maire de la commune de Brives-Charensac, Gilles Delabre, qui était également présent. 

PLC Media. Il y a presque un an de cela, vous étiez venu en tant que président de région à l’occasion de nombreuses inaugurations au sein du lycée. Aujourd’hui vous êtes notre député et vous revenez cette fois-ci à l’occasion d’évènements tragiques. Que ressentez-vous ?
Laurent Wauquiez – C’est dur parce que La Chartreuse depuis des années c’était que des bonnes nouvelles : c’était des projets, c’était l’internat, c’était l’amphithéâtre, c’était le self. C’était que des bonnes nouvelles et là c’est dur quand moi j’ai vu des salles qu’on avait payées et entièrement refaites et qui aujourd’hui sont dévastées. C’est un crève-cœur quand même donc c’est difficile mais il faut être là quand ça va bien et il faut être là quand ça va mal. C’est important d’être là. 

Est-ce ce que vous pensez pouvoir nous aider à retrouver notre lycée et si oui par quel moyen ?
-D’abord votre lycée il n’est pas perdu. Et ça c’est important pour moi. Il aurait pû être perdu. Si le feu avait été dans la partie historique, il aurait été perdu. Si le bâtiment s’effondrait sur les ateliers professionnels, il était perdu. Là, il n’est pas perdu, il est debout. La Chartreuse est debout. Il y a un des pompiers qui est intervenu, c’est un ancien de La Chartreuse ; c’est fort ça. Je peux vous dire que visiblement quand il y est allé il y est allé avec les tripes parce qu’il voulait sauver son établissement. C’est le vôtre. Et c’est aussi ça l’esprit de La Chartreuse. Donc qu’est ce que la Région va faire ? On a déjà décidé ce matin, j’étais à Lyon pour vous, de débourser 200 000 euros. Un plan d’urgence qu’on met en place pour pouvoir faire les travaux de sécurisation et que vos collègues du lycée professionnel puissent reprendre les cours tout de suite. Ensuite on va travailler ensemble sur la partie algéco. 

Est ce que vous auriez un message à nous transmettre à nous, lycéens, dans cette période qui est un peu difficile, un peu floue ?
-Il y a une belle phrase de Nelson Mandela que je vais vous laisser. Nelson Mandela qui est cette très belle figure qui fait la sortie de l’Apartheid en Afrique du Sud, il disait toujours “Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j’apprends”. Je trouve que c’est assez adapté aujourd’hui. Il n’y a jamais de défaite. C’est soit il y a des victoires, soit il y a des choses qui font grandir. C’est une épreuve. Mais tous les profs étaient là. Vous vous êtes des lycéens et vous allez voir aussi comment dans une épreuve on peut être soudés et à l’arrivée comment est-ce qu’on sort plus forts. Et donc il faut toujours se dire ça, on grandit à travers les épreuves et ça aide aussi à être plus fort. 

 

Nous avons également eu l’occasion de rencontrer Gilles Delabre, maire de Brives-Charensac, à qui nous avons pu poser quelques questions.

 

Visite de Gilles Delabre, maire de Brives Charensac, présent durant la réunion du 11 octobre.

 

PLC Media. -Vous êtes le maire de Brives-Charensac, cet événement a-t-il eu un impact sur la commune ?
Gilles Delabre. -Un impact pas vraiment, un traumatisme intellectuel, parce que ça a été quelque chose de très fort. Moi, je suis un ancien professeur d’ici, ça remonte à très vieux.  J’étais en bas à l’école primaire et du coup, j’avais une affection particulière pour la chartreuse, donc j’ai été encore plus touché. Et quand j’ai vu ça, j’étais surpris, surtout par l’ampleur des dégâts, c’était quand même considérable. Samedi j’ai visité, c’était impressionnant. Les trous dans le plafond, tout ce brasier qu’on vient de voir, c’est impressionnant. Sinon, en soi, nous, on a tous dit :  “Qu’est-ce qu’on peut faire pour vous ?” Donc on a accueilli toute une direction, Monsieur Giraud à la Maison Pour Tous, parce qu’ici, il n’y a pas d’Internet, il n’y a pas de courant. Donc on leur a dit : “Prenez tout le week-end pour ça”. On leur a donné une clé de la Maison Pour Tous, une grande salle pour se réunir et pour travailler sur la restitution de l’incendie, les solutions pour repartir le plus rapidement possible. Ils ont passé leur week-end chez nous. On leur a prêté des barrières Vauban. Il y a même mon directeur de service qui a pris le véhicule de la mairie qui est venu avec des barrières pour délimiter les endroits pour pouvoir empêcher les gens de venir, parce qu’il y a tous les curieux, puis les gens qui passaient, puis il y a le danger que ça représentait. Nous, on a eu surtout un rôle d’aide, d’aide ponctuelle, d’être près des salles, et d’apporter des barrières. 

Et à l’avenir, comment pensez-vous pouvoir aider le lycée ?
-Nous, à la mairie, on s’est posé la question de savoir comment on pouvait aider au niveau des salles, je crois qu’il y a 24 classes qui sont touchées. Nous, on n’a pas des structures pour ça. On n’a pas des structures assez grandes. La Maison pour Tous, elle est ce qu’elle est, mais on pourrait peut-être accueillir que trois classes mais c’est compliqué, en plus, le gymnase est plein à côté. Nous, au niveau des structures, on n’a pas. On peut donner un coup de main. C’était la première chose qu’on s’est dite. On avait une école qu’on a fermé qui fait 600 mètres carrés. Là, on est en train d’attaquer les travaux d’une maison de santé, à côté, à Corsac. Sinon, si ça n’avait pas été le cas, on aurait prêté cette structure, on aurait pu monter des cloisons qui auraient pu dépanner pendant quelques temps. Mais là, nous, ce n’était pas le cas, parce que la maison de santé va ouvrir en avril prochain avec 14 médecins. On ne pouvait pas changer les choses. Mais on n’a pas de structure pour un lycée comme ça. Nous, quand il y a un feu, on peut recueillir une personne, on a quelques locaux en ville, mais pour un lycée qui brûle, on n’a pas de moyens. 

Et pour finir, est-ce que vous avez un message à transmettre aux élèves et à la communauté éducative du lycée ?
-Oui, c’est surtout un message de solidarité à l’égard de la direction et puis aussi des élèves, de tout le monde, de la communauté éducative. C’est ce que je dis d’ailleurs à la presse quand je les ai rencontrés samedi, et lundi matin aussi à la commission de sécurité. C’est ce que j’ai dit à tout le monde, c’est qu’on est solidaire, on vous soutient, mais moralement et pas que moralement, puisqu’on a prêté des salles, mais ça va pas plus loin que ça. Comme je suis un ancien d’ici, un ancien prof, ça me touche un petit peu plus que la moyenne. J’ai fait 20 ans ici, donc ça marque un petit peu. Ça a beaucoup changé. Quand tu vois le machin aérien, quand j’y étais, moi, c’était en 1976. J’ai commencé là, donc c’était très, très vieux. C’est ça, mais ce n’est pas pareil. Donc c’était complètement différent. C’était une petite structure, un petit lycée ordinaire, qui s’est développé de manière exponentielle ces 15 dernières années. 

Nous remercions Gilles Delabre et Laurent Wauquiez pour le temps qu’ils nous ont accordé.

Par Julie Raffier Bor et Camille Lonjon

 

 

Cinq jours après, qu’en est-il maintenant ?

Samedi 5 octobre, l’ensemble scolaire La Chartreuse a subi un important incendie, qui laisse de gros dégâts matériels au lycée. Cinq jours après le drame, ce jeudi 10 octobre, les élèves de terminale ont fait leur retour en classe dans de nouvelles conditions. Nous sommes allés à la rencontre des équipes éducatives, afin d’obtenir leur réaction concernant le retour des élèves.

Nouvelle salle des professeurs.Nouvelle salle des professeurs déplacée dans la salle de théâtre.

Des solutions ont été trouvées pour revenir « comme si de rien n’était » dans l’établissement, nous a dit la professeure d’espagnol Madame Romeas : nouveau foyer, nouvelles classes, tout est réuni pour reprendre le cours de l’année scolaire. La journée du lundi a été forte en émotions. « À fond ! On s’était jamais vues comme ça » s’est réjouie la professeure d’espagnol. Effectivement, l’ensemble de l’équipe s’est réuni pour désencombrer les bâtiments touchés, et déplacer tout le matériel réutilisable afin que les élèves puissent revenir le plus tôt possible. « Tout le monde est désormais, à nouveau, un peu, à sa place » nous a raconté Mme Crouzet, professeure d’anglais au Lycée professionnel.

Mme Mamassian, professeure d’histoire géographie au collège nous a également apporté son témoignage:

La Chartreuse a su « renaître de ses cendres » grâce à un élan de solidarité au sein de tous les membres du Pôle, nous a expliqué M André, le CPE:

 

Nous avons rencontré également des élèves de terminale. Un sentiment d’inquiétude se fait sentir, notamment concernant le retour de l’ensemble des classes. Les jeunes, encore bouleversés et choqués par l’incendie, se sentent néanmoins pris en charge, ce qui les rassure pour la poursuite de leur scolarité. La réalité des dégâts constatés reste tout de même un choc brutal pour les élèves, qui essaient de faire face à la situation.

« Je crois que votre investissement, vous élèves, dans les cours en distanciel mais aussi dans les futurs cours en présentiel sera une des plus belles preuves de votre engagement vis-à-vis de l’établissement. » M.Giraud, chef d’établissement du Pôle La Chartreuse

Monsieur Giraud que nous avons également rencontré, nous a confié son sentiment:    « Un soulagement de retrouver les élèves, et ce, très rapidement, seulement une semaine après l’incendie. Dès la rentrée des vacances de Toussaint,  tout doit être mis en place pour le retour de tous les élèves, avec l’installation de 23 préfabriqués ».  Accompagné de Monsieur Paulet, l’ancien directeur de l’établissement, il a tenu à saluer l’engouement solidaire depuis samedi soir, tant au niveau interne avec le dévouement des professeurs et des élèves, mais aussi à l’extérieur avec de l’aide proposée par tous ou encore le travail colossal des pompiers !

Pour la suite, il est évident que les bâtiments endommagés ne seront pas opérationnels avant plusieurs années, mais l’aide proposée par tous les professionnels et notamment par La Région permettra sans nul doute de trouver des solutions durables.

 

Par Arthur ALLARY, Gabin DA ROCHA et Lucie REY

Des livres à petits prix : la bourse aux trésors littéraires fait son entrée à La Chartreuse !

Galerie

Cette galerie contient 4 photos.

Ce mois de septembre s’est déroulé un tout nouvel évènement au sein de notre lycée et collège La Chartreuse : La Bourse aux Livres. En effet, du 23 au 27 septembre, élèves et professeurs ont eu la possibilité d’acheter des … Continuer la lecture

Les C.O.P. dans la lutte contre le changement climatique

Ce podcast a été créé pour explorer l’évolution des COP dans le contexte de la lutte mondiale contre le changement climatique. Notre objectif est de souligner les défis et les opportunités actuels dans ce domaine crucial.
Il prend la forme d’une discussion entre deux animateurs de radio qui analysent et commentent l’histoire des COP ( Conférences des Parties ), les accords majeurs qui en ont découlé, ainsi que les implications politiques et environnementales. Egalement les perspectives sur l’avenir. Nous encourageons l’engagement du public dans la lutte contre le changement climatique.

Réalisé par Léonard Balhi et Joachim Abenzoar

Engagement écologique : Les Terminales HGGSP animent la Semaine de l’Environnement.

Du lundi 18 au 22 mars, une semaine autour de la cause environnementale a été organisée sous l’impulsion des élèves de Terminale spécialité HGGSP.

Pendant ces cinq jours dédiés à la cause environnementale, un programme varié a été proposé durant les temps de cours : des reportages, des interventions, des conférences ainsi qu’un clip vidéo ont été présentés aux élèves de tous niveaux, offrant ainsi une sensibilisation sous différents angles à la question environnementale.

En parallèle, la mise en place d’une caisse de dépôt de vêtements destinée à l’association Emmaüs a été effectué. Cette action vise à offrir une seconde vie aux vêtements inutilisés des adolescents, inscrivant ainsi l’action écologique dans une perspective de solidarité et de durabilité.

Pour clore cette semaine, une journée « tous en vert » a été organisée, où les élèves ont été invités à revêtir leurs plus belles tenues de couleur verte, symbolisant leur engagement en faveur de l’environnement.

Cette semaine d’activités diverses témoigne de l’engagement des élèves dans la sensibilisation à la préservation de l’environnement et à l’importance de l’action collective pour un avenir plus durable.

Par Capucine Valette et Prêle Souvignhec.

Collège : Mini entreprise mais grosse implication

Voila deux ans maintenant que le collège de La Chartreuse à mis en place un club : la mini entreprise. Le thème travaillé par ces élève est l’écologie à travers la récupération, d’où son nom rosyclage. Ainsi, les élèves vous proposent de décorer vos foyers. Il s’agit d’une rose en papier, au centre de celle-ci une ampoule, sur un lit de lentilles, au cœur d’un bocal. La rose en papier est faite à partir de feuille de livre déchiré, usagé. L’ampoule est récupérée, et ne pouvait plus servir.

Ils sont entrés en contact avec différents grandes surface de bricolage. Un circuit court pour la récupération pour correspondre à leur guideline. Les lentilles sont locales, et les bocaux ont été récupérés au travers d’une campagne de dons.

Les ventes se feront aux alentours de la fête des mères, au sein du collège, et au moins une fois au marché. Les fonds récoltés ont deux objectifs. Dans un premier temps, ils seront à destination d’associations, mais aussi pour des projets au collège.

Pour mieux comprendre le monde de l’entreprise, un rôle a été attribué à chacun des élèves : comptable, organisateur/coordinateur, service marketing/communication. Le but, faire connaitre aux collégiens de 3ème et 4ème le monde de l’entreprise, en la créant eux même. Enfin, il participeront au festival de la mini entreprise où ils devront défendre leur projet pour gagner.

 

EcriT par : Pierre QUETAUD

EUROPORTERS : L’Union Européenne façonne notre avenir culturel en protégeant et promouvant notre riche patrimoine

L’Union européenne, consciente du riche patrimoine culturel qui parcourt le vieux continent, a entrepris des actions significatives pour promouvoir et préserver les chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Cette célèbre route de pèlerinage, qui traverse plusieurs pays européens, est un trésor historique et culturel qui rassemble des communautés et des voyageurs venus du monde entier. Une des initiatives majeures de l’Union européenne en faveur des chemins de Saint-Jacques de Compostelle est le programme Itinéraires culturels, géré par le Conseil de l’Europe. Ce programme vise à mettre en valeur les aspects culturels, historiques et spirituels des itinéraires culturels européens, dont le Chemin de Saint-Jacques est l’un des plus emblématiques. L’Union européenne accorde un soutien financier substantiel à des projets visant à restaurer et à préserver les monuments historiques situés le long des chemins de Saint-Jacques. Ces fonds favorisent la réhabilitation des églises, des monastères, des ponts et d’autres sites historiques qui jalonnent le parcours, contribuant ainsi à maintenir le patrimoine architectural en bon état. Par le biais de ses politiques de développement régional et de tourisme durable, l’Union européenne s’engage également à améliorer l’accessibilité des chemins de Saint-Jacques. Elle encourage les initiatives visant à développer l’infrastructure, à promouvoir les itinéraires alternatifs et à garantir la sécurité des pèlerins. En résumé, l’action de l’Union européenne en faveur des chemins de Saint-Jacques de Compostelle se manifeste à travers des initiatives culturelles, des investissements dans la préservation du patrimoine, le développement de l’infrastructure et la promotion du tourisme spirituel. Elle incarne l’engagement de l’UE envers la richesse culturelle et historique qui relie les peuples européens à travers ces voies chargées d’histoire et de spiritualité.

La cathédrale du Puy en Velay , point de départ pour des milliers de pèlerins.

La coquille Saint Jacques emblème des chemins

Statue de pèlerin en bois sculpté

La mise en valeur du travail des artistes

Sur un chemin de grande randonnée..

Des paysages somptueux

 

Reportage co-écrit par Nathan CHAMBON et Samuel GAYTE